Un message pour toi, maman [PV le premier qui répond]

J'étais parti un peu plus tôt dans la matinée, juste avant que la cloche retentisse dans les couloirs pour marquer la fin des cours et le repas à la grande salle.

J'avais demandé, en début de cours, au professeur Mcgonnagall si je pouvais sortir quelques instants avant pour envoyer ma lettre. Nous avions eu une longue discution la veille car je n'arrivais pas trés bien en cours de métamorphose bien que je puisses changer la couleur de mes cheveux quand bon me semblait. Il ne faisait pas très chaud. Nous étions en hiver et la neige n'était pas encore tombée. Je ne croisais pas âme qui vive pourtant, quand j'entendis sonner la cloche, je sus que ces instants de tranquillité, seul avec la nature, allait être troublé par un flot d'élèves ininterrompu.

Je me dirigeais à grands pas vers la volière. Mon message était destiné à ma mère. Je n'avais encore jamais utilisé de hibou. Ma mère travaillait dur pour rapporter de l'argent à la maison mais depuis que papa était parti, c'était de plus en plus dur. Maman ne voulait pas le montrer mais je savais que nous allions bientôt devoir quitter notre grande et belle ferme pour une plus petite maison. Elle n'a plus les moyens de tout assumer. Je soupirais et essuya une petite larme qui perlait au coin de mon oeil. Tout ce que j'avais connu jusque là aller alors disparaître.

Je montais les marches tranquillement. Un vent glacial soufflé du nord et déjà, les feuilles recouvrées les marches de la volière. Je poussais la porte. Il ne faisait pas trés chaud à l'intèrieur. Je tendis la main vers un hibou mais celui-ci s'envola. Incrédule, je m'avançais vers un autre hibou mais celui-ci fit le même chose que le premier. Ces animaux étaient vraiment bizarre...

Narcissa venait de quitter le cours de Sortilège à grand pas, elle n'aimait pas se retrouver dans la foule des elèves ... elle avait dans son sac un paquet destiné à sa mère, celle-ci le lui avait demandé déjà 2 semaines auparavant et Narcissa savait bien qu'elle en entendrait parlé si elle ne se depechait pas de l'envoyer ... Elle commenca donc à traverser le chateau en direction de la volière ... les marches étaient blanches à cause de la neiges qui commençait à tomber sur le domaine ... Narcissa pensait à sa promenade du matin qui avait été pour le moins troublante mais elle n'eut pas le temps de trop s'y attardait car arrivée en haut de l'escalier elle tomba sur un élève qui se trouvait près du grand perchoir ... il ne l'avait apparament pas vu et pour ne pas l'effrayer Narcissa toussa doucement ... Elle avança vers l'endroit où se trouvait sa chouette et prononça un petit "Salut!" Elle ne savait pas si ce garçon aurait vraiment envi d'être derangé alors qu'il avait l'air perdu dans ses pensées ...

Je n'avais pas entendu la jeune fille de Serpentard s'avançait vers moi. Un petit toussotement me fit retourner, d'un geste brusque, vers la jeune élève. Je la dévisageais de bas en haut et de haut en bas. Elle devait avoir mon âge, peut-être un peu plus. Elle prit alors la parole :

"Salut!"

Maman m'avait dit de me méfier des serpentards, et ma rencontre avec eux dans le train, m'avait faite dire que ses personnes étaient peu recommandables. Mais la jeune fille avait l'air tout à fait sympathique. Je lui rendis son salut :

Salut ! Dis-je d'un ai bougon.

Je ne bougeais plus. Je ne savais pas ce que je devais faire. A part le petit groupe avec lequel j'avais pu discuter dans le train, je ne connaissais personne et je n'étais pas sur qu'ils seraient heureux d'avoir un première année dans les pattes.

Narcissa vit que le garçon en question était un peu tendu et hésitant ... Narcissa se doutait que c'était parce qu'elle était à Serpentard ... "Est ce que ça va?" demanda t'elle avec un sourire ... elle n'était pas vraiment du genre sociable mais n'aimait pas les prejugés du aux Serpentard ... elle essaya donc de ne pas l'effrayer ... "Je m'appelle Narcissa Black et toi ?" demanda t'elle en attachant le paquet à la patte de sa chouette blanche ...

Nous nous regardames droit dans les yeux puis elle reprit :

"Est ce que ça va?"

Pourquoi cela n'irait pas ? Elle devait se douter que j'étais tendu à cause de sa maison car elle ajouta :

"Je m'appelle Narcissa Black et toi ?"

Cette question était souvent posée pour briser la glace entre deux personnes. Et un serpentard n'aurait sans doute pas posé la question si celui-ci voulait me tabasser. J'essayais de me détendre et répondit, d'un ton posé :

Bonjour Narcissa. Je suis enchanté de te rencontrer. Je suis Ted. Ted Tonks.

Je lui souris et la regarda attacher son paquet à une chouette blanche. Je lui demandais :

Dis-moi, je dois envoyé une lettre à ma mère mais je n'ai pas de hibou. Le professeur McGonnagall m'a dit que je pourrais trouver un hibou à la volière. Mais ceux que j'ai essayé d'approcher se sont enfuis aussitôt ?

Narcissa écouta Ted et se tourna vers sa chouette la prit et la porta à la fenêtre pour que celle-ci s'envole ... "Et bien, enchanté Ted!" dit-elle en revenant vers lui ... "Oh ces chouettes sont très têtue ..." ajouta t'elle avec un sourire puis elle s'ecarta et se mit près d'un perchois ou un hibou grand duc dormait ... elle leva le bras pour lui faire signe de venir et il alla se poser sur le perchoir à côté de Ted ... "Voilà! Il suffit de montrer que c'est toi qui decide et aussi de ne pas hesiter ... ça se fait tout seul dans ses cas là!" finit-elle par dire en regardant Ted ... "En quelle année es-tu ?" demanda t'elle à Ted ... il avait l'air d'être au moins en 4ème année mais elle savait que les apparences étaient parfois trompeuses ...

La jeune fille s'approcha de la fenêtre, le hibou sur son bras.

"Et bien, enchanté Ted!"

Elle a jouta après que sa chouette soit partie :

"Oh ces chouettes sont très têtue ..."

Elle afficha un grand sourire et continua, aprés avoir fait un signe de la main à un hibou grand duc qui somnolait non loin de là de se poser près de moi (c'est ce qu'il fit d'ailleurs) :

"Voilà! Il suffit de montrer que c'est toi qui decide et aussi de ne pas hesiter ... ça se fait tout seul dans ses cas là!"

Je la remerciais :

Merci beaucoup Narcissa.

J'approchais ma main du hibou grand duc lentement mais surement pour ne pas lui faire peur. Le hibou était docile. Narcissa avait raison, il fallait se montrer ferme mais doux. Je le carressais puis, ne sachant pas avec quoi accrocher ma lettre (je n'envoyais jamais de lettre avec un hibou même si je suis d'une famille de sang pur). Je ne voulais pas me faire passer pour quelqu'un ne sachant rien mais il fallait se rendre à l'évidence, je ne savais pas comment il fallait s'y prendre. J'allais poser la question mais Narcissa me devança en me demandant :

"En quelle année es-tu ?"

Je lui répondis après avoir chercher autour de moi de quoi attaché mon bout de parchemin :

3ème année et toi ?

Narcissa observa Ted qui apparement chercher comment attacher sa lettre ... elle fouilla dans sa poche et en sortit un petit ruban qu'elle lui tendit tout en disant ... "Je suis en première année ... essais avec ça!" Elle attendit que Ted lui prenne le ruban tout en caressant le hibou avec l'autre main ... "Et ça se passe bien pour toi ?" demanda t'elle avant d'ajouter "Je veux dire tu t'entends bien avec les élèves ...?" Elle ne savait pas trop si ce genre de question était très poli mais ne voyait rien de gênant là dedans ... Elle regarda l'ecuson sur sa robe de sorcier et vit qu'il était à Griffondor ... elle sourit car cela fesait des jours qu'elle n'avait pas vu de Serpentards ni de Griffondor ... à croire qu'ils avaient tous finis par s'entre tuer ...

Narcissa ne fit aucun commentaire. Elle me tendit un ruban et me dit :

"Je suis en première année ... essais avec ça!"

Je la remerciais et attacha ma lettre à la patte du hibou. Je l'accrohais de sorte qu'elle ne puisse pas tomber mais que l'aniaml n'est pas mal à la patte. Je le pris sur mon avant-bras comme l'avait fait Narcissa.

"Et ça se passe bien pour toi ?"

Je fronçais les sourcils car je n'avais pas compris le sens de sa question. C'est pour cela qu'elle précisa :

"Je veux dire tu t'entends bien avec les élèves ...?"

Je haussais les épaules et m'approcha de la fenêtre.

Je ne connais pas grand monde. Les seules personnes que je connaisse ne voudrait pas s'embarrasser d'un troisième année. Je n'arrive pas trop à me lier avec les autres.

Lorsque Narcissa entendit Ted parlait des élèves qui ne voudraient pas s'embarasser d'un troisième année elle se dit que c'est peut être ce qu'il pensait pour elle et c'est un peu plus froide qu'elle lui dit ... "Je pense que les gens ne se soucis pas trop des années ..." Elle même n'avait pas vraiment d'amis parmis ceux de son age qu'elle trouvait trop imature ... en fait elle n'avait pas vraiment d'"ami" au sens amical du terme ... elle ne fesait confiance à personne et c'est surement pour cela qu'elle ne se liait jamais avec les autres ... "Et puis, il me semble qu'à Griffondor tout le monde aime tout le monde ..." Elle se rendit compte de la froidoir qu'elle avait laissé dans sa voix et se mordit la lèvre, elle ne voulait pas que le premier élève qu'elle croisait la deteste lui aussi ... ce qui ne la changerais pas vraiment au fond ... le nom des Black avait toujours eu cet effet sur les autres ... soit de crainte soit de méfiance ...

Ma camarade me répondit avec froideur :

"Je pense que les gens ne se soucis pas trop des années ..."

J'allais lui répondre mais elle me devança, en continuant toujours sur ce même ton froid et distant :

"Et puis, il me semble qu'à Griffondor tout le monde aime tout le monde ..."

J'éclatais de rire. Je ne vis pas que la jeune fille se mordit les lèvres. Je ne savais même pourquoi elle se mordrait les lèvres. Je lui répondis :

Tu ne peux pas accorder ton amitié ou ta confiance à tout le monde. Surtout à Gryffondor. Regarde Potter et sa bande. Sur quatre, il y en a qu'un que je respecte. Les autres s'estiment bien supèrieurs aux autres. Non mais franchement, les grands me considèrent comme un gamin et tu sais quoi ? Je ne vais certainement pas accorder ma confiance à des grands benêts comme eux.

Je sentis la colère me brûler les joues. Non parce que c'était une Serpentard mais seulement qu'elle réagissait comme les autres. De toute façon, elle pourra pas comprendre. Je dis à l'oreille de mon hibou l'adresse de ma maison et m'approcha de la fenêtre. Le hibou s'élança dans les airs.

Narcissa sourit en elle-même et fnit par dire ... "On est au moins d'accord là dessus ..." puis en voyant que Ted s'était enervé elle dit ... "Je ne suis pas pour cette gueguerre débile entre Griffondors et Serpentards, ma soeur et mon cousin sont à Griffondor ... bon j'avoue que je ne m'entends pas avec Sirius mais j'aime beaucoup ma soeur ..." finit-elle d'un trait ... elle ne voulait pas que Ted la juge comme le fesait les autres ... "Alors comme ça la bande à Potter ne te plaît pas ... c'est etrange ... ils sont tellement appréciés ..." dit-elle avec un sourire moqueur en appuyant sur le mot "tellement" ....

Après un moment de silence, j'entendis la voix de la jeune fille :

"On est au moins d'accord là dessus ..."

Je ne savais pas si elle avait vu que j'étais faché. Elle continua :

"Je ne suis pas pour cette gueguerre débile entre Griffondors et Serpentards, ma soeur et mon cousin sont à Griffondor ... bon j'avoue que je ne m'entends pas avec Sirius mais j'aime beaucoup ma soeur ..."

Je n'aimais pas beaucoup Sirius. Je lui répondis :

Moi non plus je ne suis pas pour cette guerre entre maisons. Ca ne sert strictement à rien.

"Alors comme ça la bande à Potter ne te plaît pas ... c'est etrange ... ils sont tellement appréciés ..."

Pourquoi le devrais-je ?

Narcissa était contente d'entendre que Ted n'avait pas ce genre de prejugés non plus ... quand il lui demanda pourquoi il devrait apprecier la bande de Potter et compagnie Narcissa reflechit un moment à sa reponse pour ne pas paraitre trop amer ... "Disons qu'ils font leur loi ici ... si tu es avec eux tant mieux ... sinon à tes risques et perils ... disons qu'ils peuvent se montrer très cruelles avec les élèves qui ne les acceptent pas ..." finit-elle par dire en jettant un coup d'oeil à Ted ... "Enfin si tu ne les crains pas je pense qu'il ne se frotte pas à toi ... c'est déjà ça!" conclut-elle ...

Narcissa sembla réfléchir à la réponse qu'elle allait donner. Elle répondit à ma question après quelques instants de réflexion :

"Disons qu'ils font leur loi ici ... si tu es avec eux tant mieux ... sinon à tes risques et perils ... disons qu'ils peuvent se montrer très cruelles avec les élèves qui ne les acceptent pas ..."

je souris. Vraiment, les élèves m'étonnaient mais mon visage de laissa rien transparaître. D'ailleurs, elle continua :

"Enfin si tu ne les crains pas je pense qu'il ne se frotte pas à toi ... c'est déjà ça!"

Je la regardais droit dans les yeux et lui fis cette étonnante réponse :

Il est vrai que Potter et ses amis font régner la loi, mais si tu ne sais pas t'imposer alors ça veut dire que tu es d'accord avec tout ce qu'ils font. Bien sur, tu peux me dire que tu n'est pas d'accord avec eux mais si tu gardes le silence, cela veut dire que tu acceptes.

Je regardais par la fenêtre. La neige qui commençait à peine à tomber quelques minutes plus tôt, c'était transformée en une épaisse forêt blanche timbant du ciel. Je dis calmement :

Il serait peut-être plus judicieux de changer d'endroit si nous ne voulons pas geler sur place. De plus, certains professeurs ont du remarqué notre absence et avec ce qui tombe, je ne suis pas sur qu'ils vont rester les bras croiser sans rien faire.

Je pris mon sac et, après encore avoir jeté un coup d'oeil à la fenêtre, je me tournais vers Narcissa et lui dis, tout en sortant ma baguette :

Si j'étais toi, je sortirais ma baguette. Nous allons en avoir besoin.

Narcissa regarda Ted un moment ... Elle regarda à son tour par la fenetre et sortit sa baguette ... "Ok, si tu le dis ..." dit-elle en le regardant ... "Où est ce que tu dois aller ?" lui demanda t'elle en entendant le vent qui sifflait et qui semblait gagner en intensité ... elle sentit un frisson la parcourir et se dit qu'il serait temps de rentrer au chaud ... elle pensa alors au feu qui devait fumé dans la cheminée de la salle commune ...

Je souris. Je pris la parole après qu'elle eut finis de parler.

J'ai l'intention de rentrer au chateau mais avant ça, il va falloir envoyer un message au directeur. Il me semble que nous allons plus être les seuls à nous diriger vers Poudlard.

En effet, un hurlement se fit entendre non loin de là. Je souris faiblement.

La neige attire les loups mais pas n'importe lesquels : les loups-garous seront de mises aujourd'hui. Le professeur Dumbledor doit déjà être au courant. Le plus sage serait de l'attendre ici mais ils seront là avant les professeurs. Ils va falloir se défendre. Tu connais des sortilèges ?

un vent glaçait entra par la porte de la volière et souleva le pan de ma robe de soricer. Il fallait faire vite. Les garous-garous avaient du nous voir nous diriger vers la volière. C'était un des points le plus éloigné du château. Nous étions des proies faciles. Je n'attendis pas la réponse de Narcissa. Il était hors de question de sortir vu la visibilité. Je lui dis calmement :

Pousse-toi de la porte d'entrée s'il te plait.

Une fois qu'elle se fut pousser, je pointais ma baguette vers le sol de l'entrée et murmura :

Glacius !

Le sol se glaça soudain, laissant place à une surface gelée. Et pour être plus sur que celle-ci fasse glisser les assaillants, je murmurais :

Glisseo !

Je me tournais vers Narcissa et après cete avançais vers elle, je lui glissais à l'oreille.

Il ne faut pas rester devant la porte, bien que non transformés, les hommes loups-garous restent très dangereux. Et ceux-là ne nous veulent pas que du bien.

Je l'entrainais vers le fond de la volière et nous nous accroupimes derrière des caisses qui étaient poser dans un coin. Le seul point faible de notre cachette, c'est que nous avions la fenêtre derrière nous...

Narcissa regarda Ted faire et écouta ce qu'il disait sur les loups garou ... elle ne s'était jamais interessée à eux et se rendit compte que ce n'était pas malin d'avoir raté le cours sur eux ... Lorsqu'il lui dit de se poussait et qu'il lanca ses sorts elle se dit qu'elle devrait retenir ces deux là .... ils pourraient reservir dans d'autres circonstance ... Narcissa n'aimait pas trop l'idée de se retrouver face à des loups garou même non transformés ... elle ecouta donc Ted et alla s'assoir derrière les caisses comme il le fit lui même ... Elle n'avait pas remarqué la fenêtre au dessus d'eux mais ce rendit soudain compte d'une chose ... "De la neige ..." dit-elle en se tournant ... "J'ai de la neige dans le cou ..." ajouta t'elle en regardant Ted et en levant les yeux ... elle vit alors la fenetre qui se trouvait juste derrière eux ... au même moment un grognement qui venait de la brume se fit entendre et Narcissa recula attrapant le bras de Ted pour le tirer loin de la fenetre ... elle tenait sa baguette fermemant prête à réagir "Je crois que la on va avoir un sacrée problème ..." dit-elle en gardant son regard fixé sur la fenetre d'où la brume ne laissait rien voir ...

C'est Narcissa qui remarqua la venue des loups-garous : ils étaient sur nous. En effet, elle avait de la naige sur sa cape et cela ne prévoyait rien de bon. Elle me tira et m'entraina loin de la fenêtre mais nous n'étions plus assez bien placer par rapport à la porte. Il fallait réfléchir et vite. Je n'entendis pas ce qu'elle dit ensuite.

Je me levais d'un bon et lui fit signe de venir se mettre prêt de moi. Je lui murmurais après avoir lancé le sortilège assurdimiento :

Reste prêt de moi. Il va falloir tenir jusqu'à leur arrivée. Tu m'as dit que tu étais en première année et normalement, tu dois connaître les sortilèges de bases. Voilà ce que nous allons faire. Tu te mets derrière moi et tu fais en sorte de me prévenir de l'arrivée des loups-garous. Si tu vois que je suis déjà occupé sur un flan, utilise un sortilège de stupéfaxion sur l'autre flan. Je ne pourrais pas être de tous les côtés.

J'annulais le sortilège que j'avais lancé et je me plaçais devant Narcissa de sorte d'avoir une vue d'ensemble sur la fenêtre et la porte.
Nous entendimes alors un hurlement venant du côté de la porte et un hurlement lui répondit du côté de la fenêtre. Ils attaquaient sur deux flancs. Ceux de la porte devait avoir remarqué les sortilèges dérisoires que j'avais jeté et deux jets de magie vinrent annulés mes sortilèges. Nous n'étions plus protégés. Je lançais de nouveaux les deux sortilèges que j'avais utilisé pour le sol de la porte. Un grognement sur ma droite me fis tourner la tête et je vis avec horreur qu'un homme loup-garou était entré.
Il se trouvait accroupis. Je saisi ma chance et lança un stupéfix qu'il reçut en pleine figure. Ce n'était qu'n coup de chance et je savais que les prochains feront deux fois plus attention.

Narcissa était resté derrière Ted qui fesait preuve d'un calme incroyable mais au fond elle ne savait pas grand chose de lui ... elle ne savait pas si une deuxième tentative serait aussi chanceuse et elle priat pour que Dumbledore arrive ... Malheureusement pour elle se voeux ne s'était pas exaussé dans les minutes qui suivirent lorsque deux loup garou entrèrent l'un par la fenêtre et l'autre par la porte à côté d'elle ... la panique qu'elle ressentait la quitta alors et sans perdre de temps elle lança un sort ... "Stupefix!" s'exclama t'elle d'une voix clair et dans laquel rien ne perçait à part sa determination ... elle savait bien qu'elle maîtrisait très bien ce sortilège et n'hésita pas une seule seconde ... elle se tourna alors vers Ted pour être sur qu'il allait bien mais déjà elle entendait des rugissement qui venait de plus bas près de la lizière de la forêt ...

Deux loups-garous entrèrent en même temps dans la volière : un par la porte et un par la fenêtre. Et le professeur Dumbledore qui n'arrivait pas. Il fallait pourtant tenir le plus longtemps possible et protéger Narcissa. Je l'entendis alors jeter le sortilège de stupéfaction sur le loup-garou se tenant prêt de la porte. Celui-ci, surpris, se laissa avoir comme un enfant. Quand à l'autre, il avança plus prudemment vers nous. Maintenant il savait que nous étions prêts à défendre cher notre peau. Un hurlement se fit entendre et plusieurs rugissement montèrent de la lizière de la forêt. Il fallait frapper l'autre adversaire tout de suite.

Il allait falloir ruser. Je lançais à mon tour un stupéfix mais lesortilège n'atteind pas le loup-garou. Il passa à l'attaque et ne sembla pas me viser tout d'abord. Il venait de bondir vers Narcissa. Je me retournais : ce fut ma première erreur ! Il ne faut jamais tourner le dos à son adversaire. Ma deuxième erreur fut d'attraper Narcissa et de la tirer vers moi. Notre adversaire avait vu venir le coup et changea de trajectoire. Il se dirigea droit vers nous. Dans ses yeux brulaient la haine et le désir. Je ne pouvais pas céder à la peur : si je cédais alors nous étions perdus. Mon devoir était de protéger les plus jeunes que moi dans n'importe quelle circonstance. Ici, c'était Narcissa. Et j'étais loin d'être un super héros qui s'en tire toujours comme dans les livres qu'on lisait petit.

J'eus la sagesse d'esprit de lancer un sortilège pour freiner le loup-garou :

Croche-pieta !

Le sortilège l'atteint de plein fouet et il trébucha sur le sol. Grâce à ce moment d'innatention, je pus lancer un nouveau sort :

Crache-limaces !

Il se mit à vomir des limaces. Il vomissait tout ce qu'il pouvait. Il fallait l'immobiliser, et vite ! Je lançais encore un sortilège, en murmurant :

Immobulus !

L'homme fut alors immobiliser. Il continait toujours de cracher des limaces. Il fallait que je lui mettes plusieurs couches de sorts pour que les adversaires prennent plus de temps à faire disparaître tout ce qu'il avait lancé mais avant tout, il fallait voir si le sortilège que j'avais appris la veille pouvait nous servir. Je dis alors à Narcissa :

Approches-toi du mur et ne bouges plus !

Je pointais alors ma baguette sur elle et murmura :

Obscuro !

Un bandeau noir apparut alors sur les yeux de la jeune fille. Il fallait mieux qu'elle ne voit pas ce qui allait s'ensuivre !

Narcissa se mit contre le mur et entendit Ted prononcait la formule "Obscuro" et se retrouva complêtement dans le noir ... elle se sentit enervée lorsqu'il fit ça car il croyait qu'elle était trop jeune pour se battre ... et qu'elle ne pouvait voir ce qui allait suivre ... il ne savait apparement pas dans quelle famille elle avait grandie ... Elle pointa sa baguette sur ses yeux et leva le sort grace à une formule imprononcée ... ça mère lui avait appris cela l'été dernier et elle avait lu tout les livres qui se trouvaient dans la bibliothèque familiale ce qui fesait qu'elle connaissait un tas de sorts qu'elle ne devrait pas connaitre ... elle savait que Ted n'avait pas vu qu'elle était de nouveau capable de voir ce qui se passer et resta à attendre ce qu'il aurait voulu faire sans qu'elle ne le voit ...

Je ne vis pas que Narcissa avait de nouveau le regard à découvert. J'étais bien trop concentré sur ma tâche. En effet, je ne connaissais presque rien d'elle et je ne connaissais la famille Black que de nom. Je soupirais et repporta mon attention sur le loup-garou qui était en train de se débattre avec mes sortilèges. Il fallait que je trouve une idée pour le mettre hors d'état de nuire car, si le combat tournait à leur avantage, se serait toujours un assaillant de moins. Je murmurais :

Blocklang !

Les cris de la victime s'estompèrent. Les autres n'allaient pas tardé à arriver. Je me rendis compte soudain de mon erreur. Ses amis allaient arriver deux fois plus vite, quoi que...Je pointais à nouveau ma baguette vers lui et prononça :

Engorgio !

Je n'étais pas très fier du sortilège que j'avais lancé et cela me vaudra sans doute une audience disciplinaire mais pour le moment, je n'en avais cure. Je n'avais qu'une idée en tête, protéger Narcissa. Le loup-garou mourut étranglé. Il fallait absolument que je trouve une idée pour la suite. Je pointais ma baguette sur le corps inanimé et, d'une voix qui trahissait mon stress, je lançais :

Wingardium Leviosa !

Le corps se mit à léviter et je me dirigeais avec le corps vers la porte tout en gardant un oeil sur la fenêtre. Je ne mettais toujours pas rendu compte que Narcissa n'avait plus rien devant les yeux. Je sortis de la volière et regarda autour de moi. Une odeur de chair me monta au nez. Ils n'étaient plus très loin. Je posais le corps à terre devant la porte et pointa ma baguette vers l'homme mort et dit une voix qui voulait être calme :

Expulso !

Le corps fut envoyé loin dans la neige. Il retomba lourdement. Tout de suite, deux hommes loups-garous se précipitèrent sur le mort et commencèrent à le déchiqueter. Un grattement se fit entendre sur ma droite. Je me penchais et vis que des loups-garous avaient entrepris l'ascension de ce côté pour ne pas attirer l'attention vers les escaliers. Une montée d'adrenaline se produisit mais je me résonnais cat je ne pouvais céder à la peur à cause de Narcissa. Je pointais ma baguette sur l'homme le plus prêt de moi :

Atakunto !

Il fut projeté à 5 mètres et il s'immobilisa pendant 5 secondes. Je fis de même pour les 4 ou 5 autres qui le suivaient. J'entrais à nouveau. Je ne prêtais plus attention à Narcissa. Un loup-garou venait de pénétrer par la fenêtre. Il se trouvait vers des cages vides : les hiboux de la volière s'étaient tous enfuis ou presque. Je souris et pointa ma baguette. Je prononçais sans attendre :

Bombus maximus !

Les cages qui se trouvaient derrière lui explosèrent. Blessé par les morceaux qui volaient dans tous les sens, il se tourna vers moi, les yeux rouges de colère. Il saignait près de son oeil droit et sa lèvre infèrieure était ouverte. Il pointa sa baguette magique vers moi et j'eus la présence d'esprit de lancer le charme du bouclier.

Protego !

Il allait me lancer un nouveau sortilège quand un sort le toucha en pleine poitrine. Il s'effondra sur le sol. Je me retournais et pus voir Narcissa, baguette pointait vers l'homme. Je la remerciais d'un signe de tête. Le mur qui se trouvait derrière moi explosa. Je fus projeté dans les airs. Je sentis une douleur derrière ma tête. Le sang me battait dans les oreilles. Il fallait que le professeur Dumbledore arrive sinon, nous étions perdu. Je passais la main derrière ma tête et constata que je saignais. Mais je n'avais pas le temps de m'appitoyer sur mon sort, la blessure ne me semblait pas trop grave. Je me relevais d'un bond et chercha Narcissa du regard. Elle était encore debout, et elle faisait face à une dizaine de loups-garous. Je vins me placer à coté d'elle. Elle ne semblait pas avoir été touchée par l'explosion...

Narcissa tourna la tête pour voir les hommes qui se trouvaient face à elle ... elle n'eut pas le temps de regarder comment Ted allait qu'il était déjà à côté d'elle ... mais elle voyait bien qu'il n'avait pas la forme ... il était blessé et saignait ... Elle reflechit quelques secondes et se tourna vers Ted ... elle lui attrapa le bras et les fient reculer tout les deux ... elle lui lança un regard pour lui faire comprendre qu'il fallait qu'il ai confiance ... tout en reculant elle regarda en l'air ... le toit vouté de la volière ne laissa pas vraiment voir le ciel ... elle reporta son attention sur les hommes qui comme elle l'avait prévu avançaient vers eux ...l'air menaçant ... au moment elle vit l'un d'eux lever sa baguette elle tira le bras de Ted et tout deux s'accroupir dans le coin de la volière ... la elle pointa sa baguette vers le plafond et sans rien dire le plafond explosa ... alors tout s'ecroula sur les hommes qui n'eurent pas le temps de réagir ... elle eut juste le temps de dire "Protego" avant que tout s'effondre ... elle se releva alors ... la poussière lui bouchait la vue .. mais elle crut entendre des voix à l'exterieur ...

Le plafond s'effondra. La fumée prit la place et je ne pus distingué les choses qui m'entouraient. Des voix se firent entendre à l'extèrieur. Il me sembla reconnaître la voix du professeur Dunbledore : elle semblait se rapprochait mais pourtant, j'avais l'impression qu'elle s'éloignait de plus en plus de moi. Je sentis qu'un immense trou noir m'aspirait vers le fond et j'avais beau lutter, rien de semblait pouvoir me retenir. Ma tête me faisait mal et je sentais le sang tembourinait mes tempes. La blessure à ma tête me faisait souffrir mais pourtant il fallait que je reste conscient : il ne fallait pas abandonner Narcissa. Des pas se rapprochèrent et quelques sorts fusèrent de ci, de là. J'eus la force d'hurler le nom de ma camarade :

NARCISSA !

Puis se fut le noir complet. Je flottait entre deux mondes : je ne voulais pas sortir du second qui était le rêve, l'inconscient mais pourtant il fallait que je revienne dans le premier, c'est à dire la réalité.

Il me sembla que l'on me souleva du sol mais mon corps ne semblait plus vouloir réagir. Je n'arrivais plus à réfléchir, comme si mon cerveau n'arrivait pas à faire les bonnes connexions. Je murmurais :

Narcissa...

Je plongeais de plus en plus profond dans l'inconscient...

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